Niger: pas de nouveau dialogue entre le pouvoir et l’opposition

Pour la énième fois, l’opposition politique nigérienne boycotte une réunion du Conseil national du dialogue politique, le CNDP, convoquée par le Premier ministre Brigi Rafini. L’opposition pose ses conditions à toute éventuelle reprise des discussions, mais le gouvernement ne l’entend pas de cette oreille.

La main tendue par le Premier ministre à l’opposition n’a finalement pas été acceptée. Dans sa lettre adressée au chef de file de l’opposition, Brigi Rafini évoquait des échanges sur les conditions et les moralités de reprise de dialogue politique afin de créer un climat de sérénité et d’apaisement.

Tout en rejetant l’invitation, l’opposition, réunie au sein du Front pour la restauration de la démocratie et la restauration de la République, le FRDDR, pose des conditions à toutes éventuelles discussions. Selon le chef de file de l’opposition par intérim, Amadou Djibo, il faudrait d’abord trouver un cas de dialogue inclusif en présence de témoins sincères et crédibles, c’est-à-dire des observateurs internationaux. Ensuite, il faudrait créer un cas qui discutera de la mal gouvernance du régime de la septième République.

Un véritable dialogue de sourds quand on sait que depuis le début du second mandant du président Issoufou, c’est la sixième fois que l’opposition nigérienne boycotte les travaux du CNDP. Le processus de révision du Code électoral dans les travaux à l’Assemblée nationale a ainsi été boycotté par l’opposition. Une fois de plus, la partie gouvernementale se trouvera seule pour discuter de l’élaboration du fichier électoral biométrique et de l’instauration de la nouvelle Commission nationale indépendante.

RFI

Birmanie: la souffrance des Rohingyas

La situation reste critique à la frontière entre le Bangladesh et la Birmanie. Quelque 400 000 Rohingyas musulmans ont fui l’Etat de l’Arakan, dans l’ouest birman, où l’armée mène officiellement des « opérations de sécurité ».

La répression contre la minorité rohingya a entraîné de vives condamnations sur la scène internationale. La dirigeante birmane Aung San Suu Kyi est la cible de nombreuses critiques, mal comprises par de nombreux Birmans bouddhistes. Illustration.

Nombre de bouddhistes birmans n’acceptent pas que l’image de leur pays soit écornée sur la scène internationale.

Ils remettent tout en cause, à commencer par le nombre de réfugiés comptés par les Nations unies au Bangladesh, plus 400 000. Leurs calculs sont exagérés par rapport à la réalité, estiment-ils, et ce chiffre est à leurs yeux donné par les Rohingyas.

 

Burkina Faso – Komondjari: 36 personnes portées disparues dans un éboulement

36 personnes sont toujours portées disparues, à la suite d’un éboulement survenu hier jeudi dans un site d’orpaillage à Lourgou (Komondjari), selon l’AIB vendredi.
Un éboulement s’est produit sur le site aurifère de Lourgou dans la commune de Foutouri dans la province de la Komondjari.
Selon des informations concordantes, le drame s’est produit le jeudi 14 septembre 2017 aux environs de 11h.
Jointe au téléphone, une autorité locale précise que l’éboulement dont les circonstances ne sont pas encore connues, a occasionné plus d’une trentaine de disparus.
« 36 personnes qui ont déposé leurs cartes avant de rentrer dans le trou n’ont pas répondu à l’appel. Jusqu’ à vendredi soir, on est sans nouvelles d’eux », confie-t-elle avant de souligner les difficultés liées au litige entre le Burkina Faso et le Niger autour de la zone.
En rappel, le site aurifère de Lourgou situé à 205 km au Nord-Est de Fada-N’Gourma fait l’objet de litige où des FDS nigériens y ont pris position depuis quelques jours, à en croire le maire de la commune de Foutouri, M. Kanfideni Lompo.
«Au dernières nouvelles une personne extirpée des décombres et encore sous le choc, a confié qu’il y a beaucoup de gens dans le trou. Certains sont morts, d’autres sont encore en vie. j’ai demandé aux populations de redoubler d’efforts pour sauver ceux qui peuvent encore l’être», ajouté M.Lompo.
AIB

Rapport du ministère en charge des enseignements supérieurs: “Le rapport ne respecte pas le principe élémentaire des audits ou des inspections” Établissements d’Enseignement Privés Laïc

Suite à la publication par la Direction Générale de l’Enseignement Supérieur, du RAPPORT DES SORTIES DE SUIVI-CONTROLE DES INSTITUTIONS PRIVEES D’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (IPES), rapport dont la conclusion est le classement des IPES du Burkina Faso, les établissements privés d’enseignement supérieur ont organisé une assemblée générale le samedi 09/09/2017 au siège de l’UNEEP L.
Après avoir largement débattu du rapport, les IPES se sont accordées sur les points suivants :
I. Du principe du suivi-contrôle
II. Du présent rapport
III. De la rencontre DGESup/IPES
I. DU PRINCIPE DU SUIVI-CONTROLE
Les Institutions privées d’Enseignement Supérieur reconnaissent le rôle régalien du ministère en charge de l’enseignement supérieur de contrôler et d’évaluer les IPES. Ce contrôle permet aux établissements d’évoluer vers un enseignement de qualité, un objectif partagé par les acteurs. C’est également un encouragement pour tous à se conformer à la réglementation ainsi qu’à l’éthique. D’ailleurs c’est pour prouver la qualité de leur enseignement par rapport aux critères fixés par les autorités publiques des Etats que les IPES en grande majorité soumettent volontairement leurs diplômes au CAMES
II. DU PRESENT RAPPORT
Le rapport dans son introduction dit que l’opération a été faite conformément aux articles 35,36 et 37 du Cahier des Charges qui régit les institutions privées d’enseignement supérieur. (Arrêté n°2011- 120/MESS/SG/DGERS/DEPr du 18 juillet 2011).Or l’évaluation et le classement sont traités dans les articles 85 et 86.
L’article 85 stipule :
« Le ministère en charge de l’enseignement supérieur peut procéder à une évaluation des établissements privés autorisés à ouvrir ».
«Cette évaluation peut être suivie d’un classement selon des critères définis par arrêté du ministre en charge de l’enseignement supérieur».
Les IPES déplorent quatre points :
1. L’UNEEP-L n’a pas connaissance de la présence de l’arrêté du ministre en charge de l’enseignement supérieur comme le stipule l’article 86 ci-dessus cité devant précéder l’évaluation ;
2. Le rapport ne respecte pas le principe élémentaire des audits ou des inspections. En effet, l’auditeur doit porter le résultat de son travail à la connaissance de la structure concernée, et recevoir éventuellement des recours, avant la publication,
3. Les visites ont eu lieu dans une certaine confusion : des IPES n’ont pas reçu les missions ; certaines ont refusé de les recevoir ; des IPES nouvellement autorisées et dont les programmes démarraient à peine furent évaluées ; plusieurs établissements avec un nombre important de diplômes reconnus par le CAMES sont plutôt mal classés.
4. L’UNEEP-L n’a ni été associée, ni été contactée durant tout le processus de mise en œuvre et de diffusion de cette évaluation
5. Les qualifications «bonne qualité», «assez bonne qualité », «moyenne qualité », «mauvaise qualité» ou «très mauvaise qualité» sont abusives au regard du champ couvert par la présente inspection.
III. DE LA RENCONTRE DGESup/IPES
Les IPES ont répondu massivement à la proposition de la DGESup de les rencontrer le mardi 12/09/2017dans la salle de réunion de la DGESup. La rencontre était présidée par Mme la DGESup entourée de la Directrice de l’Enseignement Supérieur Privé (DIPES) et de leurs collaborateurs, et du Président de l’UNEEP-L.
Elle s’est déroulée dans un esprit d’écoute mutuelle, de vérité constructive et d’apaisement.
Après avoir reconnu des insuffisances de fonds et de forme au rapport dont les responsabilités sont partagées, les parties sont parvenues aux initiatives d’amélioration suivantes :
– Les IPES qui estiment être injustement classées et qui le souhaitent peuvent fournir à la DIPES les informations et documents manquants jusqu’au vendredi 15/09.
– Après avoir pris en compte ces informations et documents, la DGESup publiera un rapport complémentaire dans les délais les meilleurs, si possible le 20/09.
– La DGESup étudiera la possibilité de rehausser le classement vers le haut, comme cela se fait ailleurs, afin de ne pas dévaloriser l’enseignement au Burkina par rapport à d’autres pays où des établissements peuvent être classés « excellent ».
Les participants se sont félicités de cette rencontre qui a permis de rappeler l’objectif partagé de tous qui est la construction d’un enseignement supérieur de qualité. La décision a été prise de renforcer le partenariat entre l’UNEEPL et la DGESup en vue de relayer les informations des autorités d’une part et prendre en compte les préoccupations du secteur privé de l’autre.
A l’issue de la réunion DGESup/IPES, les établissements ont tenu sur place une assemblée générale. Les participants se sont réjouis des résultats obtenus. Ils se sont mis d’accord pour se conformer aux conclusions de la concertation avec la DGESup, dans l’espoir que des décisions diligentes permettront de sauver ce qui peut encore l’être mais surtout qu’à l’avenir les conditions d’élaboration du rapport seront meilleures.
Fait à Ouagadougou le 18/09/17
Pour l’UNEEP L
Issa COMPAORE
Président
Officier de l’Ordre International des Palmes Académiques CAMES
Chevalier de l’Ordre du Mérite Burkinabé

Putsch de septembre 2015: “le dossier avance bien ” Réné Bagoro

Le dossier judiciaire concernant le coup d’Etat manqué de mi-septembre 2015 au Burkina Faso, avance très bien et le procès  pourrait débuter avant la fin de l’année en cours, a déclaré le ministre burkinabè en charge de la Justice, René Bagoro, à l’occasion de la commémoration du 2e anniversaire dudit putsch.

Le ministre Bagoro qui s’exprimait samedi, en marge de la cérémonie de dépôt de gerbes de fleur sur la tombe des martyrs, s’est incliné sur  la mémoire des victimes et a souhaité prompt rétablissement aux blessés.
«Au niveau de la justice, le dossier avance très bien et ça,ce n’est pas pour répéter la rengaine qu’on a l’habitude de nous reprocher», a indiqué le ministre.
Il a rappelé que l’actualité à ce sujet est illustrative puisque «rien que hier (vendredi 15 septembre 2017, Ndlr), il y a eu l’audience pour la confirmation des charges».
Et d’expliquer que l’instruction a terminé son travail et le dossier a été renvoyé à la chambre de contrôle pour vérifier et prendre maintenant la décision finale qui va permettre de programmer l’audience.
«Ce que l’on peut affirmer, c’est que l’instruction est terminée », a confié René Bagoro, avant d’ajouter «Bien sûr, les avocats font des appels qui peuvent trainer le dossier».
«Sinon, si tout se déroule bien, le dossier pourrait être programmé d’ici à la fin de l’année», a-t-il conclu.
Le gouvernement du Burkina Faso pour marquer le deuxième anniversaire de la résistance au coup d’Etat, a décidé d’organiser une série  d’activités dont le nettoyage des tombes des victimes du putsch et des offices religieux organisés du vendredi 15 au dimanche 17 septembre.
 Il y a eu les dépôts de gerbes de fleur, ce samedi 16 septembre, dans les cimetières du pays où sont inhumés les martyrs. A Ouagadougou, la cérémonie a eu lieu au cimetière municipal de Gounghin.
A cela s’ajoute une conférence publique sur «la résistance au coup d’Etat» organisée, en collaboration avec des Organisations de la société civile (OSC), le samedi 16 septembre, à Ouagadougou.
La commémoration du 2e anniversaire du coup d’Etat manqué intervient alors que des associations des parents de martyrs réclament justice pour leurs proches tués lors de ce coup d’Etat.
Le coup d’Etat manqué du 15 septembre 2015 avait été perpétré par le défunt Régiment de sécurité présidentielle (RSP), avec à sa tête le général Gilbert Diendéré, qui s’était proclamé président du Conseil national pour la démocratie (CND).
Le putsch avait occasionné une quinzaine de morts et fait plusieurs blessés. Dans le cadre des enquêtes, une centaine de personnes ont été interpellées dont la plupart bénéficie actuellement de la liberté provisoire.

7 choses auxquelles les femmes pensent pendant l’amour

Les hommes se demandent souvent à quoi pensent les femmes pendant qu’ils ont des rapports sexuels, car il peut leur sembler compliqué de savoir quand elles éprouvent réellement du plaisir, si cet orgasme est réel ou simulé, si elles veulent continuer ou arrêter, etc. En fait, cela pourrait être surmonté dans de nombreux cas avec plus de communication entre les partenaires, car il est important que tous les deux sachent ce que l’autre veut et comment il se sent pour profiter plus et mieux de l’acte. Malgré tout, si les doutes vous assaillissent, nous vous invitons à lire cet article de toutCOMMENT dans lequel nous dévoilons 7 choses auxquelles les femmes pensent pendant un rapport sexuel.

Instructions :

1« Ce mec n’est jamais fatigué ? », « Combien lui manque-t-il pour terminer ? »

Tout a une limite et la lubrification vaginale également, donc retarder trop longtemps le moment de l’orgasme peut devenir inconfortable et même gênant pour elle. Il n’y a pas de temps défini pour l’acte, mais de la même manière qu un rapport qui dure entre 1 et 2 minutes est trop court et laisse insatisfait, celui qui dure trop longtemps peut aussi devenir une expérience désagréable et mettre fin à l’excitation et à la passion du moment.

2« Je ne sais pas pourquoi je prends la peine d’acheter de la belle lingerie »

Beaucoup d’hommes ne tiennent pas compte des détails comme le fait que leur femme ait mis de la lingerie sexy et jolie pour l’occasion. Ils veulent aller droit au but et pensent que tout le reste est superflu. Cependant, elles apprécient beaucoup cet aspect lorsqu’elles sont au lit avec un homme, et préfèrent profiter des préliminaires, recevoir des compliments, se sentir désirées et super attrayantes, laissant le rapport arriver quand il devra arriver. Chaque chose en sont temps !

3« Je veux un orgasme, mais je ne veux pas que ça se termine maintenant »

Contrairement au premier point, les femmes se retiennent souvent pour ne pas atteindre l’orgasme à ce moment même. Cela est dû au fait qu’elles en profitent au maximum et ne veulent pas que cette incroyable sensation de plaisir se termine. Avoir cette pensée est très positif, car c’est le signe qu’elles passent un bon moment au lit et si, par ailleurs, cela se produit la première fois, elle voudra certainement retrouver cet homme et avoir bien d’autres moments comme celui-ci.

4 Aie, ça m’a fait mal !

Certains mouvements brusques, soit au cours de la stimulation ou de la stimulation manuelle, peuvent causer de l’inconfort et de la douleur. Bien que ce soit l’une des choses auxquelles les femmes peuvent penser tout en ayant des rapports sexuels, elles ne l’extériorisent généralement pas souvent si c’est ponctuel. A l’inverse, si la douleur est plus intense ou prolongée, elle se plaindra. Il est toujours important d’être attentif aux expressions de son partenaire au cours de l’acte et d’avoir des mouvements doux et délicats. Ainsi, la jouissance et le plaisir seront garantis.

5« J’aime ça ! Qu’il ne s’arrête pas ! Où a-t-il appris ça ? »

Les femmes ont tendance à tout analyser, et quand elles sont au lit avec un homme, elles ne cessent pas de le faire. Quand quelque chose leur plait, cette pensée envahira rapidement leur tête, voulant être sûre que vous n’arrêtiez pas de faire ce qui leur procure tant de plaisir. Mais ça ne s’arrête pas là, il est également probable qu’elle se demande comment vous avez appris à faire cela, vous l’avez vu dans un film ?, un magazine ?, Votre ex vous l’a appris ? Etc. Quoi qu’il en soit, elle sera enchantée et voudra continuer à en profiter.

6 Il faudrait changer de position maintenant !

Chacun a ses préférences en matière de positions sexuelles. Il est tout à fait possible que lors de l’acte, elles souhaitent essayer différentes positions pour faire varier le rythme et le rendre plus agréable. Cependant, de nombreuses fois, c’est une pensée qu’elles gardent pour elle, car elles ne savent pas très bien comment le dire à leur partenaire ou compagnon.

7« Suis-je bien épilée ? »

Beaucoup de femmes se soucient des poils du corps quand elles ont des rapports sexuels avec un homme. Voilà pourquoi il est normal qu’à un certain moment de la relation, elles se demandent si elles sont bien épilées, s’il aura remarqué, s’il aura remarqué des poils pendant qu’il la caresse, etc. La vérité est que c’est une pensée fréquente chez les femmes lors de relations intimes, mais que les hommes n’ont pas tendance à remarquer ou à prêter attention.

Si vous souhaitez lire plus d’articles semblables à 7 choses auxquelles les femmes pensent pendant l’amour, nous vous recommandons notre catégorie Amour.

Source : toutcomment.com

Pourquoi les Hommes Trompent-ils Leur Femme ?

Pourquoi les hommes trompent leur femmeVoici une question intéressante : Pourquoi un homme trompe sa femme ou sa copine ?De toute façon, les hommes, c’est tous des salauds.Ils nous trompent dès qu’ils en ont envie et nous nous retrouvons bêtes et amoureuses, ne pouvant pas nous résoudre à rompre avec celui qui n’a aucun scrupule à aller voir une autre femme. Mais bon, soyons réalistes, il y a aussi de nombreuses femmes qui trompent leur mari.

Alors, trait du caractère humain ou bien simple vengeance des femmes contre ces égoïstes d’hommes qui ne cherchent que leur plaisir ?

Tromper sa femme, ne veut pas dire ne plus l’aimer

Il y a ceux qui vous trompent dès le lendemain et ceux qui vous trompent après des années de vie commune. Dans les deux cas, cela ne veut pas forcément dire que votre homme est un connard fini (mais bien sûr vous pouvez le penser très fort quand vous apprenez la nouvelle, on l’a toutes fait).

Dans le premier cas, cela veut peut-être tout simplement dire qu’il a juste un peu peur de s’engager avec vous. Peu crédible je sais bien mais pour expérience vécue, je vous avoue que c’est possible (les hommes aussi sont parfois un peu tordus comme ils peuvent le dire de nous).

Le deuxième cas est généralement le plus fréquent : des années de vie commune, à vous faire l’amour à vous et vous seule. Peut-être que sans vous en rendre compte vous êtes tombés tous les deux dans une certaine routine sexuelle et que vous avez perdu le plaisir intense que vous procure un rapport imprévu dans un endroit inhabituel. Et ça, il y a peu de gens à qui ça plait.

Peut-être qu’avant qu’il vous trompe vous ne vous étiez pas rendu compte de cela : vie au travail intense et vie à la maison épuisante, entre tout ça il est courant que le sexe passe à la trappe. A cause de cela votre mari à surement du avoir une simple envie sexuelle, toute bête, qui ne réfute en rien son amour pour vous.

Cela est très difficile à accepter mais prenez un peu de temps, détendez-vous et regardez : n’éprouvez-vous pas aussi parfois du désir pour un autre homme, croisé au travail ou bien dans les transports en commun ? Et pourtant vous aimez votre mari, c’est alors juste du désir, une envie de sexe qui vous prend.

Cela n’excuse en rien le fait de passer à l’acte mais permet de le comprendre et de savoir que votre homme ne vous a pas forcément trompé parce qu’il ne vous aime plus. Forcément oui parce qu’il y a une différence entre un homme qui vous trompe une fois, comme ça,  et un homme qui vous trompe régulièrement.

Si l’on peut comprendre, mais difficilement l’accepter, une envie sexuelle subite avec quelqu’un d’autre il est plus difficile de comprendre qu’un homme qui dit vous aimer a des relations régulières avec d’autres femmes…

Tromper, c’est des fantasmes inavouables

La vie de couple, avec la famille et le travail est parfois mise de côté et avec, la vie sexuelle. Mais elle peut aussi tout simplement devenir routinière comme nous avons vu. Les habitudes sont tout à fait normales et nous permettent d’organiser, de rythmer notre vie et d’y mettre des repères mais la routine casse tout, détruit lentement un couple.

La routine ou les habitudes sexuelles sont mauvaise pour un couple. Cela peut sembler idiot mais n’ayez pas peur de varier dès le début les positions, les lieux et les expériences. On s’enferme parfois trop rapidement dans une façon de faire l’amour qui serait moralement acceptable et n’osons plus par la suite.

Or vous le savez mesdames, le plaisir engendre les envies. Et parfois les envies de choses nouvelles. Si c’est le cas pour nous, c’est aussi souvent le cas chez nos hommes. Mais faute d’avoir eu un début de vie sexuelle débridée ou du moins varié à vos côté, votre cher homme peut craindre en quelque sorte de vous avouer certains fantasmes.

Non pas qu’il vous craigne ou bien ne vous fasse pas confiance, seulement qu’il a peur que vous soyez choquée ou bien gênée par certaines de ses envies. Cela est peut-être déjà le cas pour vous. Au fil du temps les fantasmes évoluent, pour chacun de nous. N’ayez crainte d’en parler avec votre mari. Si cela vous inquiète, parlez en sur le ton de la blague au début et voyez sa réaction. Faites lui des invitations à vous dire ce dont il a envie.

Bref, ne vous privez pas de vos fantasmes sexuels avec votre homme. Vous serez encore plus liés, plus complices qu’avant, aurez tout le plaisir que vous voudrez et serez au moins certaine que votre mari vous parlera de ses désirs plutôt que d’aller les essayer avec une autre femme.

Un orgasme à chaque fois vous faites l’amour ?

Mais bien sûr ! Découvrez dans ce mini-guide gratuit les 6 étapes pour avoir l’orgasme de votre vie — et découvrez comment le rendre ACCRO à vous… pour toujours !

Tromper sa femme, une envie de changement ?

La routine, l’habitude… toujours ces mêmes mots pour désigner un danger permanent dans un couple mais aussi dans le reste de ce qui constitue notre vie. Alors parfois, on en a marre, on a envie de changement. Sexuellement, ça peut-être pareil.

Si votre homme vous trompe une fois, juste parce qu’il a eu une envie, un désir sexuel pour une autre femme, c’est surement parce qu’il a éprouvé cette envie de changement. Ce n’est pas forcément qu’il ne vous aime plus certes mais soyez tout de même attentive.

Il se peut que cela ne soit que passager mais ça peut aussi être l’annonce d’un plus grand changement. On dit souvent que vers 40 ans les hommes ont envie d’une aventure extra-conjugale, de quitter leur travail etc… c’est la crise de la quarantaine que nous connaissons aussi. Sans essayer de psychanalyser votre homme, essayez au moins de savoir s’il est réellement heureux dans la vie qu’il mène et si vous ne pouvez pas faire quelque chose pour que cela s’arrange.

Bien évidemment, cela suppose déjà de lui pardonner le fait de vous avoir trompée. Comment réussir à faire cela ? Ce n’est pas simple et dépend de la sensibilité de chacune et du passé commun de votre couple. Si c’est la première fois qu’il vous trompe et que vous l’aimez vraiment, essayez de lui donner une seconde chance. Par contre s’il recommence mais dit vous aimez quand même, faites comme bon vous semble mais ne le laissez pas vous prendre pour une imbécile.

Un trait pas forcément masculin

Peut-être que les hommes aussi se demandent « pourquoi les femmes trompent-elles leur mari ». Car en effet, il n’est pas rare que nous aussi ayons des aventures extra-conjugales. Là encore, comme pour les hommes, c’est souvent une simple envie sexuelle. L’envie de voir un peu ce qu’il se passe ailleurs.

Nous devrions peut-être réfléchir dans ce sens là : pourquoi arrive-t-il qu’une personne trompe son partenaire ? Fantasmes que dont on n’ose pas parler, envies d’aller découvrir ce qu’il se passerait avec quelqu’un d’autre, envie de sexe pour du sexe. Autant de raisons qu’hommes et femmes peuvent ressentir et qui peuvent nous pousser l’un comme l’autre à tromper notre partenaire.

Et si le mieux était d’en jouer ?

Apprendre que l’on a été trompée est douloureux, humiliant même parfois. Il faut donc éviter, tant que cela est possible, que notre partenaire éprouve un besoin ou bien ne puisse pas satisfaire ses envies avec nous.

Sans dire oui à tout et sans faire des choses que nous ne voulons pas, laissons parler nos désirs, notre imagination. Prenez l’habitude de partager vos envies avec votre partenaire afin qu’il en fasse de même. Vous devez vous sentir en totale confiance l’un avec l’autre.

Si vous lui proposez quelque chose qui ne l’emballe pas, n’insistez pas. Il sait que vous en avez envie alors laissez le y penser, peut-être qu’avec du temps lui aussi en ressentira le désir. Mais si cela marche dans un sens, cela doit marcher dans l’autre : ne vous forcez pas, prenez votre temps, respectez votre corps et vos envie.

Positions, aventures, jeux sexuels : une infinie variété de possibilité sont déjà connues, à vous d’inventer les vôtres, celles qui vous correspondent pour que, votre mari tout autant que vous n’ayez pas envie et ne ressentez pas le désir d’aller voir quelqu’un d’autre pour réaliser un fantasme, voir comment ça se passe ailleurs.

Sexualité : 5 questions taboues sur les films pornos

Anciennement réservées aux hommes avertis, les images pornographiques sont aujourd’hui totalement en libre accès. Quelles places prennent-elles dans la vie des femmes, des hommes et des ados ? Peuvent-elles nuire à une sexualité et à une libido épanouie ?

Pourquoi les films pornos nourrissent-ils les fantasmes des hommes?

L’homme est un animal érotique voyeur ! Voici pourquoi, il est nourri et excité par les films pornos, sans pour autant être insatisfait sexuellement avec sa partenaire. Les films pornos exacerbent un autre fantasme : coucher avec une pro sans aucun sentiment. L’acte sexuel pour l’acte sexuel.

La pornographie peut-elle créer des troubles de l’érection ?

La pornographie peut entraîner des problèmes d’érection. C’est un phénomène bien connu, souvent dû à des éjaculations trop fréquentes. En effet, lorsque les hommes regardent un film porno, ils se masturbent et éjaculent. Lors de leur prochain rapport sexuel, leur érection sera moins bonne et leur éjaculation plus difficile. C’est simplement un problème mécanique. La solution est d’éviter de regarder des films X quelques jours avant une relation sexuelle, de manière à accumuler suffisamment d’énergie sexuelle.

La pornographie peut entrainer des troubles du désir ?

Les films pornos modifient les sources d’excitation. La stimulation sexuelle devient centrée exclusivement sur les images, la vision et accessoirement le son. Habituellement, dans une relation sexuelle réelle, il en est autrement. C’est aussi le contact, l’odeur, et les sentiments, et les émotions qui stimulent l’érection et participent à la montée du désir. L’excitation masculine habituée aux images X a plus de difficultés à monter suffisamment haut lors d’une relation sexuelle de couple. Pour mieux vivre votre sexualité dans la vraie vie, il faut se désaccoutumer des stimulations artificielles du porno.

Les femmes regardent-elles des films pornos ?

Si les femmes regrettent l’image dégradante de la femme dans les films pornos, elles ne sont plus anti-porno. D’après un sondage réalisé en 2012 par l’Institut Ifop, plus de huit Françaises sur dix affirment avoir déjà regardé un film X. Et une sur cinq aime s’adonner à ce loisir coquin.

En vingt ans, le nombre de femmes qui regardent des films pornos a vraiment augmenté. D’après une étude sur la sexualité de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), elles étaient seulement 23% en 1992.

Regarder un film X est devenu une pratique acceptable pour les femmes, en partie grâce à internet, le VOD (vidéo à la demande) qui facilite l’accès, la dématérialisation de l’achat et la gratuité des contenus. Si les femmes préfèrent regarder des films en couple (62%), une Française sur deux (50%) aime pratiquer cette activité sexuelle seule.

La pornographie nuit-elle à la sexualité des ados ?

La curiosité sexuelle est normale à cet âge-là, il est donc logique que les ados s’intéressent aux films porno. Mais, le risque principal de la surconsommation de films porno est une construction unique et fausse de la sexualité. Les images scénarisées viennent prendre la place de l’imaginaire. Elles ne permettent pas à chacun de développer sa propre représentation de la sexualité et du couple.

Les images pornographiques exposent un modèle unique, dans lequel l’affectif n’a aucune place : juste des faits crus, des femmes soumises, des partenaires réduits à l’état d’objet… des positions et des pratiques banalisées. L’adolescentse trouve donc confronté à une réalité plus complexe que la vision simpliste véhiculée par la pornographie. S’il peut se sentir plus libéré, car « éduqué » par les films, l’ado doit réintroduire la dimension du rapport avec l’autre et ne pas s’angoisser avec la notion de performance.

Compte rendu du Conseil des ministres du 13 septembre 2017

Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le mercredi 13 septembre 2017, en séance ordinaire, de 9 H 30 mn à 13 H 30 mn, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu des communications orales, procédé à des nominations et autorisé des missions à l’étranger.

I. DELIBERATIONS
I.1. AU TITRE DE LA REFORME DES INSTITUTIONS ET DE LA MODERNISATION DE L’ADMINISTRATION, LE CONSEIL A ADOPTE SIX (06) RAPPORTS.
I.1.1. Pour le compte du ministère de l’Economie, des finances et du développement :
un décret portant autorisation de perception de recettes relatives aux prestations du ministère du Développement de l’économie numérique et des postes.
L’adoption de ce décret permet d’augmenter la contribution du ministère du Développement de l’économie numérique et des postes au budget de l’Etat et d’assainir le secteur des Technologies de l’information et de la communication (TIC), notamment de contrôler la qualité de certains appareils de communication électronique importés au Burkina Faso.
un décret portant autorisation de perception de recettes relatives au contrôle des engrais au Burkina Faso.
L’adoption de ce décret permet de créer un environnement juridique et législatif favorable à la perception des recettes, tout en créant un dispositif réglementaire garantissant la qualité des engrais, la protection des utilisateurs des engrais et la professionnalisation des acteurs.
deux décrets portant respectivement autorisation de perception des recettes relative à la taxe de concession d’entrée sur le marché burkinabè de l’audiovisuel et autorisation de perception de la redevance applicable aux éditeurs de services de radio et de télévision à vocation internationale et aux distributeurs de services audiovisuels à péage.
L’adoption de ces décrets vise à se conformer aux dispositions de la loi N°059-2015/CNT du 04 septembre 2015 portant régime juridique de la radiodiffusion sonore et télévisuelle au Burkina Faso.
un décret portant modalités d’apurement administratif de comptes de gestion de l’Etat, des établissements publics de l’Etat (EPE) et des collectivités territoriales.
L’adoption de ce décret permet de se conformer à la loi N°031-2016/AN du 27 octobre 2016 autorisant l’apurement administratif de comptes de gestion de l’Etat, des établissements publics de l’Etat (EPE) et des collectivités territoriales.
I.1.2. Pour le compte du ministère de l’Agriculture et des aménagements hydrauliques :
un décret portant composition, attributions et fonctionnement du Comité national du Comité inter-Etats de lutte contre les effets de la sécheresse dans le Sahel (CONACILSS).
Ce décret découle de la relecture du décret N°2007-818/PRES/PM/MAHRH du 07 décembre 2007 portant organisation, composition et fonctionnement du Comité national du CILSS (CONACILSS).
L’adoption de ce décret permet de doter ledit comité d’un instrument juridique adapté à la mise en œuvre efficiente du CONACILSS et d’en assurer la stabilité institutionnelle.
I.1.3. Pour le compte du ministère des Ressources animales et halieutiques :
un projet de loi portant Code de santé animale et de santé publique vétérinaire.
Ce projet de loi permet au Burkina Faso de disposer d’un cadre législatif opérationnel en conformité avec l’environnement juridique international et sous régional.
Le Conseil a marqué son accord pour la transmission du projet de loi à l’Assemblée nationale.
I.2. AU TITRE DU DEVELOPPEMENT DU CAPITAL HUMAIN, LE CONSEIL A ADOPTE DEUX (02) RAPPORTS.
I.2.1. Pour le compte du ministère de l’Economie, des finances et du développement
un rapport relatif à trois (03) décrets portant respectivement érection du Centre polytechnique de Ouahigouya en Université de Ouahigouya, du Centre polytechnique de Fada N’Gourma en Université de Fada N’Gourma et du Centre polytechnique de Dédougou en Université de Dédougou.
L’adoption de ces décrets permet d’accroître la capacité d’accueil des universités publiques, d’améliorer l’accès à l’enseignement supérieur ainsi que la gouvernance universitaire.
I.2.2. Pour le compte du ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation :
– un rapport relatif aux résultats de la participation des candidats du Burkina Faso à la 39ème session des Comités consultatifs interafricains (CCI) du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES), tenue du 10 au 20 juillet 2017 à Cotonou, au Bénin.
A cette session, notre pays a présenté deux cent cinquante (250) candidatures provenant des institutions d’enseignement supérieur et de recherche publiques, privées et interafricaines pour l’obtention d’une inscription sur les différentes listes d’aptitude aux fonctions de Maître-assistant, de Chargé de recherche, de Maître de conférences, de Maître de recherche, de Professeur titulaire et de Directeur de recherche.
Le Burkina Faso a enregistré deux cent trente un (231) inscrits sur l’ensemble des listes d’aptitude, soit un taux de succès de 92,5%.
Le Conseil félicite l’ensemble des candidats pour ces résultats qui honorent la communauté universitaire burkinabè.
Ces rapports s’inscrivent dans le cadre de l’accès à un enseignement supérieur de qualité adapté aux besoins de la transformation structurelle de notre économie.
I.3. AU TITRE DE LA DYNAMISATION DES SECTEURS PORTEURS POUR L’ECONOMIE ET L’EMPLOI, LE CONSEIL A ADOPTE QUATRE (04) RAPPORTS.
I.3.1. Pour le compte du ministère de l’Economie, des finances et du développement :
un rapport relatif à une ordonnance portant autorisation de ratification de l’accord de prêt N°12/701 conclu le 29 juin 2017 à Ouagadougou entre le Burkina Faso et le Fonds Saoudien de développement (FSD).
D’un montant de 138,750 millions de riyals Saoudien, soit environ 22,2 milliards de FCFA, ce prêt est destiné au financement partiel du Projet de construction et de bitumage de la route nationale N°23 Ouahigouya-Djibo longue de 115 km dans le but de désenclaver et de développer les régions du Nord et du Sahel.
I.3.2. Pour le compte du ministère de l’Agriculture et des aménagements hydrauliques :
un rapport relatif à une demande motivée par la procédure d’entente directe pour des acquisitions et des approvisionnements en céréales.
Le Conseil a marqué son accord pour l’acquisition de 25 500 tonnes de céréales pour l’approvisionnement des boutiques témoins pour montant de cinq milliards deux cent douze millions cinq cent mille (5 212 500 000) FCFA et l’acquisition de 5 000 tonnes complémentaires pour la reconstitution du Stock national de sécurité (SNS) pour montant de un milliard deux cent trente millions (1 230 000 000) de FCFA.
Pour l’acquisition de 25 500 tonnes de céréales pour l’approvisionnement des boutiques témoins :
Lot 1 : ETS TERA SAHIBOU pour l’acquisition de 7000 tonnes de céréales pour un montant de un milliard quatre cent vingt-deux millions cinq cent mille (1 422 500 000) FCFA pour les localités de Fada N’Gourma, Sebba, Gaoua et Diebougou ;
Lot 2 : GROUPE VELEGDA pour l’acquisition de 5 500 tonnes de céréales pour un montant de un milliard cent trente millions (1 130 000 000) F CFA pour les localités de Koudougou et Sebba ;
Lot 3 : GRANDS GRENIERS DU FASO pour l’acquisition de 3 500 tonnes de céréales pour un montant de sept cent douze millions cinq cent mille (712 500 000) FCFA pour les localités de Fada N’Gourma, Koudougou, Tenkodogo et Sebba ;
Lot 4 : OMORY SARL pour l’acquisition de 2 500 tonnes de céréales pour un montant de quatre cent soixante-quinze millions (475 000 000) FCFA pour les localités de Tenkodogo et Koupéla ;
Lot 5 : ALLIANCE & CO pour l’acquisition de 1 000 tonnes de céréales pour un montant de cent quatre-vingt-dix millions (190 000 000) FCFA pour la localité de Koudougou ;
Lot 6 : DJENE INDUSTRIES pour l’acquisition de 1 000 tonnes de céréales pour un montant de cent quatre-vingt-dix millions (190 000 000) FCFA pour la localité de Koudougou ;
Lot 7 : ENAZIF pour l’acquisition de 500 tonnes de céréales pour un montant de quatre-vingt-quinze millions (95 000 000) FCFA pour la localité de Tenkodogo ;
Lot 8 : SYSCOM pour l’acquisition de 500 tonnes de céréales pour un montant de quatre-dix-sept millions cinq cent mille (97 500 000) F CFA pour la localité de Fada N’Gourma ;
Lot 9 : NEGOS BURKINABE DES PRODUITS CEREALIERS ET OLEAGINEUX (NBPCO) pour l’acquisition de 1 000 tonnes de céréales pour un montant de cent quatre-vingt-dix millions (190 000 000) F CFA pour la localité de Koudougou ;
Lot 10 : FTC pour l’acquisition de 500 tonnes de céréales pour un montant de quatre-vingt-quinze millions (95 000 000) F CFA pour la localité de Tenkodogo ;
Lot 11 : GECOM pour l’acquisition de 1 000 tonnes de céréales pour un montant de cent quatre-vingt-dix millions (190 000 000) FCFA pour la localité de Tenkodogo ;
Lot 12 : DAOUEGA SERVICE pour l’acquisition de 500 tonnes de céréales pour un montant de quatre-vingt-quinze millions (95 000 000) FCFA pour la localité de Tenkodogo.
Lot 13 : UDIRBA PLUS pour l’acquisition de 500 tonnes de céréales pour un montant de cent soixante-cinq millions (165 000 000) FCFA pour la localité de Tenkodogo ;
Lot 14 : KOKUMA pour l’acquisition de 500 tonnes de céréales pour un montant de cent soixante-cinq millions (165 000 000) FCFA pour la localité de Tenkodogo.
Pour l’acquisition de 5 000 tonnes complémentaires pour la reconstitution du Stock national de sécurité (SNS) :
Lot 1 : Le PRESTATAIRE pour l’acquisition de 1000 tonnes de céréales pour un montant de deux cent soixante-huit millions sept cent cinquante mille (268 750 000) FCFA ;
Lot 2 : WASCOM pour l’acquisition de 1000 tonnes de céréales pour un montant de deux cent vingt-six millions deux cent cinquante mille (226 250 000) FCFA ;
Lot 3 : COMPTOIR MODERNE DU COMMERCE ET TRAVAUX (CMCT) pour l’acquisition de 1000 tonnes de céréales pour un montant de deux cent quarante-trois millions sept cent cinquante mille (243 750 000) FCFA ;
Lot 4 : SOTRACOF pour l’acquisition de 1000 tonnes de céréales pour un montant de deux cent cinquante un millions deux cent cinquante mille (251 250 000) FCFA ;
Lot 5 : EZOF pour l’acquisition de 1000 tonnes de céréales pour un montant de deux cent quarante millions (240 000 000) FCFA.
Ce rapport vise à renforcer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages vulnérables.
I.3.3. Pour le compte du ministère des Infrastructures
un rapport relatif à l’approbation des résultats des marchés de réhabilitation de voiries dans la ville de Ouagadougou par la procédure d’entente directe.
Le Conseil a marqué son accord pour l’attribution des marchés aux entreprises suivantes :
lot 1 : GLOBEX CONSTRUCTION pour un montant de deux milliards sept cent quatre-vingt-dix-sept millions six cent vingt-cinq mille six cent (2 797 625 600) FCFA TTCavec un délai d’exécution de trois (03) mois ;
lot 2 : COGEB International pour un montant de huit cent quatre-vingt-deux millions cinq cent soixante-six mille quatre cent (882 566 400) FCFA TTC avec un délai d’exécution de quatre (04) mois ;
lot 3 : YELLHY TECHNOLOGIES pour un montant de deux milliards huit cent quatre millions cinq cent cinquante-cinq mille trois cent vingt-quatre (2 804 555 324) FCFA TTC, avec un délai d’exécution de quatre (04) mois ;
lot 4 : BATIMENT-TRAVAUX MAINTENACE (BTM) pour un montant de un milliard trente-sept millions cinq cent dix-huit mille soixante-huit (1 037 518 068) FCFA TTC avec un délai d’exécution de quatre (04) mois.
Le montant total des marchés s’élève à sept milliards cinq cent vingt-deux millions deux cent soixante-cinq mille trois cent quatre-vingt-douze (7 522 265 392) FCFA TTC pour les travaux et de deux cent soixante-neuf millions trois cent cinquante-huit mille six cent trente-deux (269 358 632) FCFA TTC pour le contrôle desdits travaux.
Le financement est assuré par le budget de l’Etat, gestion 2017.
Ce rapport entre dans le cadre du développement des infrastructures de qualité pour favoriser la transformation structurelle de l’économie.
I.3.4. Pour le compte du ministère des Ressources animales et halieutiques
– un rapport relatif aux résultats de passation de marché par la procédure d’entente directe pour l’acquisition d’aliments pour bétail au profit des treize (13) régions du Burkina Faso, d’unités de fabrique d’aliments de bétail au profit des Régions du Sahel, du Centre, du Plateau-Central, des Cascades, du Centre-Ouest et du Centre-Sud et de broyeurs polyvalents au profit des treize (13) Régions.
Le Conseil a marqué son accord pour l’attribution des marchés aux entreprises suivantes :
-KATO pour l’acquisition de 252 broyeurs polyvalents mobiles pour un montant de quatre cent quatre-vingt-dix-neuf millions sept cent trente-quatre mille huit cent quatre-vingt-dix (499 734 890) FCFA, avec un délai d’exécution de 90 jours ;
-TANGA AGROTECH HODING pour l’acquisition d’équipements de fabrique d’aliments pour un montant de deux cent soixante-dix millions (270 000 000) FCFA, avec un délai d’exécution de 120 jours ;
-TANGA AGROTECH HODING pour l’acquisition d’équipements de fabrique d’aliments pour un montant de trente millions (30 000 000) FCFA, avec un délai d’exécution de 120 jours ;
-ILDO BUSNESS pour l’acquisition de 1000 tonnes de tourteaux de coton pour un montant de deux cent seize millions (216 000 000) FCFA avec un délai d’exécution de 45 jours ;
-SOFAB-SA pour l’acquisition d’aliments complets pour porc pour un montant de deux cent trente-neuf millions quatre cent quarante-cinq mille (239 445 000) FCFA avec un délai d’exécution de 45 jours ;
-NITRAM SARL pour l’acquisition d’aliments pour le bétail pour un montant de cent quarante millions (140 000 000) FCFA avec un délai d’exécution de 45 jours ;
-GROUPE SODEM SARL pour l’acquisition de 5000 tonnes aliments bétail engrais cubé pour un montant de neuf cent cinquante millions (950 000 000) FCFA avec un délai d’exécution de 45 jours ;
-SONACO pour l’acquisition de 800 tonnes de maïs pour un montant de cent quatre-vingt millions (180 000 000) FCFA avec un délai d’exécution de 45 jours ;
-SIATOL SARL pour l’acquisition de 309 tonnes de tourteaux de soja pour un montant de cent vingt-trois millions six cent mille (123 600 000) FCFA avec un délai d’exécution de 45 jours.
Le montant total des attributions s’élève à deux milliards six cent quarante-huit millions sept cent soixante-dix-neuf mille huit cent quatre-vingt-dix (2 648 779 890) FCFA.
Le financement est assuré par le budget de l’Etat, gestion 2017.
Ce rapport s’inscrit dans le cadre de la dynamisation des secteurs porteurs pour l’économie et les emplois.
II. COMMUNICATIONS ORALES
II.1. Le ministre de l’Urbanisme et de l’habitat a fait au Conseil une communication relative à la commémoration de l’an 2 de la Résistance au putsch du 16 septembre 2015.
Cette commémoration se déroulera du 14 au 17 septembre 2017 autour d’offices religieux et de dépôt de gerbe de fleurs au cimetière municipal de Gounghin, dans toutes les régions dans les cimetières où reposent une ou des victimes ou au pied d’un monument symbolique dédié à la résistance.
Le gouvernement salue la mémoire des disparus, exprime sa compassion aux blessés et renouvelle son engagement à faire triompher la vérité et la justice.
Il invite le peuple burkinabè à participer massivement aux différentes commémorations pour nos martyrs.
II.2. Le ministre de la Culture, des arts et du tourisme a fait au Conseil une communication relative à la tenue de la 12ème édition du Salon International du Tourisme et de l’Hôtellerie de Ouagadougou (SITHO).
Cette édition, placée sous le Haut patronage de Son Excellence Monsieur le Premier ministre, Paul Kaba THIEBA, se tiendra du 28 septembre au 1er octobre 2017 sous le thème « Tourisme interne : enjeux et défis ».
Ce 12ème SITHO vise à promouvoir le tourisme interne par la découverte des potentialités culturelles et artistiques nationales afin de permettre la promotion d’une croissance économique soutenue, partagée et durable.
III. NOMINATIONS
III.1. NOMINATION DANS LES FONCTIONS INDIVIDUELLES
AU TITRE DU MINISTERE DE LA SECURITE
Monsieur Victor BAKOUAN, Mle 23 849 E, Administrateur civil, 1ère classe, 11ème échelon, est nommé Chargé de missions ;
Madame Maïmouna OUATTARA/THIOMBIANO, Mle 23 537 C, Administrateur civil, 1ère classe, 9ème échelon, est nommée Conseiller technique ;
Madame Diénabou SERE/COULIBALY, Mle 30 698 H, Commissaire divisionnaire de police, catégorie I, 4ème grade, 3ème échelon, est nommée Chargée de missions à la Direction générale de la police nationale.
Sont nommées Inspecteurs techniques des services les personnes dont les noms suivent :
Madame Eugénie Constance Lebkoné SOMDA/MEDAH, Mle 30 511 X, Contrôleur général de police, catégorie I, 15ème grade, 2ème échelon ;
Monsieur Ram Sylvain TIONON, Mle 30 506 P, Contrôleur général de police ;
Monsieur Alidou OUEDRAOGO, Mle 12 683 W, Contrôleur général de police, 5ème grade, 2èmeéchelon ;
Monsieur Marcel PARE, Mle 12 604 Y, Commissaire divisionnaire de police, 1ère classe, 3ème échelon ;
Monsieur Sy TRAORE, Mle 14 078 B, Commissaire divisionnaire de police, 1ère classe, 3ème échelon ;
Madame Masso ZOUNGRANA/OUATTARA, Mle 30 669 J, Commissaire divisionnaire de police, 1èreclasse, 3ème échelon ;
Monsieur Moussa SANA, Mle 13 930 B, Commissaire divisionnaire de police, 2ème échelon ;
Monsieur Salfo DABARE, Mle 12 658 J, Commissaire divisionnaire de police, 2ème échelon ;
Monsieur Komossira SANON, Mle 22 830 W, Commissaire divisionnaire de police, 1ère classe, 3èmeéchelon ;
Monsieur Babor Sylvestre BADOLO, Mle 17 771 U, Commissaire principal de police, 13ème grade, 2ème échelon ;
Monsieur Sosthène Dieudonné SORE, Mle 22 522 Y, Administrateur civil, 1ère classe, 9ème échelon ;
Monsieur Jean-Gabriel NADEMBEGA, Mle 23 842 V, Administrateur civil, 1ère classe, 12ème échelon ;
Monsieur Kibsa Antoine OUEDRAOGO, Mle 19 940 F, Administrateur civil, 1ère classe, 9ème échelon ;
Monsieur Kouliga Maxime KOALA, Mle 25 635 A, Administrateur civil, 1ère classe, 12ème échelon ;
Monsieur Koudyamba Jacques KIEMDE, Mle 30 697 U, Commissaire principal de police, catégorie I, 2ème échelon, est nommé Chargé d’études ;
Monsieur Boniface DIANDA, Mle 53 909 M, Commissaire de police, catégorie I , 1ère classe, 1eréchelon, est nommé Directeur des sports, des arts et de la Culture ;
Monsieur Nomwendé Abdoulaye KANAZOE, Mle 117 045 S, Administrateur civil, 1ère classe, 1eréchelon, est nommé Secrétaire général de l’Office national d’identification (ONI) ;
Monsieur Dada Fidèle MILLOGO, Mle 238 055 M, Conseiller en gestion des ressources humaines, 1èreclasse, 2ème échelon, est nommé Directeur des ressources humaines de l’Office national d’identification (ONI) ;
Monsieur Irnou KAMBIRE, Mle 19 427 M, Commissaire divisionnaire de police, 4ème grade, 1eréchelon, est nommé Directeur régional de la Police nationale des Cascades ;
Monsieur Sampana Jérôme LOUGOUDIE, Mle 22 797 L, Commissaire divisionnaire de police, 1ergrade, 2ème échelon, est nommé Directeur régional de la Police nationale du Centre-Ouest ;
Sont nommées Directeurs provinciaux de la Police nationale les personnes dont les noms suivent :
Monsieur Kalbi YAMEOGO, Mle 22 804 E, Commissaire principal de police, 1ère classe, 1er échelon, Province des Balé ;
Monsieur Karim Blaise ZANGRE, Mle 17 886 S, Commissaire principal de police, 3ème grade, 3èmeéchelon, Province du Bam ;
Monsieur Kouiliga Emmanuel KABORE, Mle 120 822 T, Commissaire de police, 2ème grade, 3èmeéchelon, Province des Banwa ;
Monsieur Bertrand TOE, Mle 111 494 W, Commissaire principal de police, catégorie I, 2ème échelon, Province de la Bougouriba ;
Monsieur Noangma Sidiki DIMA, Mle 22 839 V, Commissaire principal de police, catégorie I, 2èmeéchelon, Province du Ganzourgou ;
Monsieur W. Barthélemy YANOGO, Mle 111 487 C, Commissaire de police, 3ème grade, 2ème échelon, Province de la Gnagna ;
Monsieur Boureima SAVADOGO, Mle 111 497 N, Commissaire de police, 3ème grade, 2ème échelon, Province du Ioba ;
Monsieur Amidou Roger KIENDREBEOGO, Mle 17 914 E, Commissaire principal de police, catégorie I, 4ème échelon, Province de la Komandjari;
Monsieur Ousmane DJOLGOU, Mle 24 485 N, Commissaire de police, catégorie I, 4ème échelon, Province de la Kompienga ;
Monsieur Siaka BADO, Mle 19 454 C, Commissaire principal de police, 2ème grade, 1er échelon, Province de la Kossi ;
Monsieur Zei SINARI, Mle 27 542 P, Commissaire de police, 2ème grade, 2ème échelon, Province du Koulpélogo ;
Monsieur Emmanuel COMBASSIRY, Mle 17 837 K, Commissaire principal de police, Province du Kouritenga ;
Monsieur Koffi Alexis HIEN, Mle 22 836 G, Commissaire principal de police, Province de la Léraba ;
Monsieur Tandin DIARRA, Mle 53 890 C, Commissaire de police, 1er grade, 1er échelon, Province du Loroum ;
Monsieur Nakoaba TANKOANO, Mle 102 424 E, Commissaire de police, 2ème grade, 2ème échelon, Province du Nahouri ;
Monsieur Edgar BAMOUNI, Mle 217 562 E, Commissaire principal de Police, 3ème grade, 1er échelon, Province du Namentenga ;
Monsieur Abdoulaye SIDIBE, Mle 24 550 P, Commissaire principal de Police, 1ère classe, 2èmeéchelon, Province du Nayala ;
Monsieur Mahamadi KOAMA, Mle 13 845 S, Commissaire principal de Police, Catégorie I, 3èmeéchelon, Province du Noumbiel ;
Monsieur François SAWADOGO, Mle 227 557 C, Commissaire de Police, Catégorie I, 3ème échelon, Province de l’Oudalan ;
Monsieur Roger Pascal YAMEOGO, Mle 22 942 E, Commissaire de Police, 2ème grade, 2ème échelon, Province du Passoré ;
Monsieur Zinouénou Francis NION, Mle 31 739 B, Commissaire de Police, 2ème grade, 4ème échelon, Province du Sanguié ;
Monsieur Dagnidoma Alphonse YODA, Mle 217 558 C, Commissaire principal de Police, 3ème grade, 1er échelon, Province de la Sissili ;
Monsieur Ousmane ZONGO, Mle 24 409 A, Commissaire principal de Police, 3ème classe, 1er échelon, Province du Soum ;
Monsieur Aimé LANKOANDE, Mle 111 448 Y, Commissaire de Police, 12ème grade, 1er échelon, Province du Sourou ;
Monsieur Lassane ZIDA, Mle 102 427 X, Commissaire de Police, 2ème grade, 2ème échelon, Province de la Tapoa ;
Monsieur Soumaïla TRAORE, Mle 102 429 M, Commissaire de Police, Catégorie I, 2ème échelon, Province du Tuy ;
Monsieur D. Dieudonné TOGUYENI, Mle 22 774 X, Commissaire de Police, 2ème grade, 5ème échelon, Province du Yagha ;
Monsieur Alexandre KAWASSE, Mle 31 785 G, Commissaire de Police, 2ème grade, 2ème échelon, Province du Ziro ;
Monsieur Pascal ILBOUDO, Mle 22 939 K, Commissaire de Police, 2ème grade, 3ème échelon, Province du Zandoma.
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ADMINISTRATION TRRRITORIALE ET DE LA DECENTRALISATION
Sont nommées chargés de missions les personnes dont les noms suivent :
Madame Justine YARA/KANZIE, Mle 24 097 Y, Inspecteur du travail et des lois sociales ;
Madame Alizèta DABIRE/SAWADOGO, Mle 59 720 L, Administrateur civil;
Monsieur Ambroise SOME, Mle 28 127, Administrateur civil ;
Monsieur Amidou BALIMA, Mle 15 382 D, Administrateur civil ;
Monsieur Dramane SANOU, Mle 25 126 G, Conseiller des affaires économiques ;
Monsieur Joachim SOMDA, Mle 17 321 E, Administrateur civil ;
Monsieur Moussa ROUAMBA, Mle 19 934 Z, Administrateur civil ;
Madame Marie Andréa KABORE/OUEDRAOGO, Mle 28 148 M, Administrateur civil ;
Monsieur Issa COMPAORE, Mle 28 529 B, Administrateur civil ;
Monsieur Halhassane SINARE, Mle 41 154, Juriste ;
Monsieur Bazomboué BAZIE, Mle 22 635 A, Administrateur civil, est nommé Inspecteur général des services ;
Monsieur Idrissa SAWADOGO, Mle 28 072 C, Administrateur civil, est nommé Secrétaire permanent de la Conférence nationale de la décentralisation (SP-CONAD) ;
Monsieur Khalil BARA, Mle 28 169 K, Administrateur civil, est nommé Secrétaire permanent du Comité national d’organisation du 11 décembre ;
Madame Léontine ZAGRE, Mle 28 153 C, Administrateur civil, est nommée Secrétaire permanent de la Commission nationale des frontières (SP-CNF) ;
Monsieur Victorien Narcisse OUANGRAOUA, Mle 28 135 D, Administrateur civil, est nommé Directeur général de l’administration du territoire ;
Monsieur K. Aristide BERE, Mle 212 172, Administrateur civil est nommé Directeur général des libertés publiques et des affaires politiques ;
Monsieur Lazare YAGO, Mle 505 827 U, Officier, est nommé Directeur général de la Protection civile ;
Monsieur Idrissa KOANDA, Mle 97 427 C, Administrateur civil, est nommé Directeur général des collectivités territoriales ;
Monsieur Boubacar Nouhoun TRAORE, Mle 28 673 Z, Administrateur civil, est nommé Directeur général de la Fonction publique territoriale ;
Monsieur Maxime BOUDA, Mle 28 170, Administrateur civil, est nommé Directeur général de la modernisation de l’état civil ;
Monsieur Adama MOYENGA, Mle 208 059 F, Administrateur des services financiers, est nommé Directeur général des études et des statistique sectorielles ;
Madame Habi OUATTARA, Mle 109 373 D, Conseiller en sciences et techniques de l’information et de la communication, est nommée Directrice de la communication et de la presse ministérielle ;
Monsieur Waman KIENOU, Mle 225 14 34, Inspecteur de police municipale, est nommé Directeur chargé de la coordination des polices municipales ;
Monsieur Sié HIEN, Mle 97 426, Administrateur civil, est nommé Directeur des archives et de la documentation ;
Monsieur Aimé Jean Jacques DAMA, Mle 266 138 H, Ingénieur des travaux en informatique, est nommé Directeur des services informatiques ;
Monsieur Dramane BAGAYA, Mle 111 295, Administrateur civil, est nommé Directeur du développement institutionnel et de l’innovation ;
Madame Awa COMPAORE/ZOURE, Mle 108 470 L, Administrateur civil, est nommée Directrice de la prévention et de la gestion des conflits à la Direction générale de l’administration du territoire ;
Monsieur Oury KONATE, Mle 200 317 W, Administrateur civil, est nommé Directeur de la formation et de la législation à la Direction générale de la modernisation de l’état civil ;
Monsieur Gilbert ILBOUDO, Mle 247 542 A, Administrateur civil, est nommé Secrétaire général de l’Institut supérieur d’étude de protection civile.
Sont nommés Gouverneurs de Région les Administrateurs civils dont les noms suivent :
Madame Josephine KOUARA APIOU/KABORE, Mle 25 760, Région des Cascades ;
Monsieur Sibiri De Issa OUEDRAOGO, Mle 23 593, Région du Centre ;
Madame Irène COULIBALY, Mle 28 164, Région du Centre-Ouest.
Sont nommés Secrétaires généraux de Région :
Monsieur Jérémie Kouka OUEDRAOGO, Mle 28 124 Administrateur civil, Région de la Boucle du Mouhoun ;
Monsieur Sayouba SAWADOGO, Mle 28 530, Administrateur civil, Région du Centre-Ouest ;
Madame Salimata DABAL, Mle 91 139, Administrateur civil, Région du Nord.
Sont nommés Hauts commissaires de Province :
Région de la Boucle du Mouhoun
Monsieur Yaya SANOU, Mle 28 119, Administrateur civil, Province des Balé.
Région des Cascades
Madame Aminata SORGHO/GOUBA, Mle 212 181, Administrateur civil, Province de la Comoé.
Région du Centre-Est
Monsieur Eugène ZONGO, Mle 23 709, Administrateur civil, Province du Boulgou.
Région du Centre-Sud
Monsieur Irma ZOUNGRANA, Mle 28 152, Administrateur civil, Province du Bazèga ;
Monsieur Aboubacar TRAORE, Mle 23 633, Administrateur civil, Province du Zoundwéogo.
Région de l’Est
Monsieur Laurent BADO, Mle 212 176, Administrateur civil, Province de la Gnagna ;
Monsieur Adama Jean Yves BERE, Mle 91 922, Administrateur civil, Province du Gourma ;
Monsieur Maurice KONATE, Mle 105 189, Administrateur civil, Province de la Komandjari ;
Monsieur Toussaint MEDA, Mle 75 413 J, Administrateur civil, Province de la Kompienga.
Région des Hauts-Bassins
Monsieur Lamine SOULAMA, Mle 23 676, Administrateur civil, Province du Houet ;
Madame Sy Assétou BARRY/TRAORE, Mle 23 670, Administrateur civil, Province du Tuy ;
Région du Nord
Monsieur Ousmane BALIMA, Mle 28 530, Administrateur civil, Province du Passoré ;
Madame Ouo Bibata BAMOUNI/TRAORE, Mle 75 654, Administrateur civil, Province du Zandoma.
Région du Plateau-Central
Madame Orokia ONADJA/BARRO, Mle 59 704, Administrateur civil, Province du Kourwéogo ;
Monsieur Albert Kouliga ZONGO, Mle 59 702, Administrateur civil, Province de l’Oubritenga.
Région du Sahel
Monsieur Adama KONSEIGA, Mle 111 296, Administrateur civil, Province du Yagha.
Région du Sud-Ouest
Monsieur Jean-Pierre VOGNA, Mle 98 021, Administrateur civil, Province du Ioba ;
Monsieur Thomas YAMPA, Mle 220 666, Administrateur civil, Province du Noumbiel.
Sont nommés Secrétaires généraux de Province les Administrateurs civils dont les noms suivent :
Monsieur Tegwendé Armand DAMBRE, Mle 118 968 H, Province du Bam ;
Monsieur Martin BAKO, Mle 118 960 F, Province du Ganzourgou ;
Monsieur Idrissa YANOGO, Mle 67 353 C, Province de la Gnagna ;
Monsieur Sié Aristide Mohamed KAM, Mle 220 659 J, Province du Ioba ;
Monsieur Lucien GUENGUERE, Mle 91 945 R, Province de la Komandjari ;
Monsieur Dramane TRAORE, Mle 28 171 P, Province de la Kompienga ;
Monsieur Ibrahim BOLY, Mle 98 002 M, Province de la Kossi ;
Monsieur Hamidou COMPAORE, Mle 91 941 Y, Province du Namentenga ;
Monsieur Mathieu TINGUERI, Mle 105 298 S, Province du Noumbiel ;
Madame Zalisa PARE/SALAMBERE, Mle 98 014 M, Province de l’Oubritenga ;
Madame Salimata OUEDRAOGO/SANOU, Mle 97 289 R, Province du Passoré ;
Monsieur Siaka de Issa OUATTARA, Mle 23 621 Z, Province du Sanguié ;
Monsieur Abou ZOURE, Mle 118 971 M, Province du Sanmatenga ;
Monsieur Yaya KONE, Mle 200 319 L, Province de la Sissili ;
Monsieur Pierre Claver BANCE, Mle 74 751 K, Province du Soum ;
Monsieur Siaka SANOU, Mle 104 425 L, Province du Sourou ;
Monsieur Bépambo OUOBA, Mle 238 014 P, Province de la Tapoa ;
Monsieur Tasséré NACOULMA, Mle 59 770 R, Province du Tuy ;
Monsieur Tarwendé Juste OUEDRAOGO, Mle 238 015 F, Province du Zandoma ;
Monsieur Hamadé BOINA, Mle 32 454 N, Province du Zoundweogo.
Sont nommés Préfets les personnes dont les noms suivent :
Région de la Boucle du Mouhoun
Monsieur Mendien dit Moussa SOMA, Mle 247 535 A, Administrateur civil, Département de Boromo (Balé) ;
Monsieur Noel KONKOBO, Mle 220 583 L, Secrétaire administratif, Département de Kougny (Nayala).
Région des Cascades
Monsieur Salfo YANTA, Mle 212 140 P, Secrétaire administratif, département de Niankorodougou (Léraba) ;
Monsieur André LANKOUANDE, Mle 238 017 X, Administrateur civil, département de Sindou (Léraba).
Région du Centre
Madame Wossolème Clarisse DENNI, Mle 200 393 B, Administrateur civil, département de Pabré (Kadiogo) ;
Région Centre-Est
Monsieur Isaac SOURGOU, Mle 23 705 D, Secrétaire administratif, département de Bissiga (Boulgou) ;
Monsieur Bertrand SORO, Mle 247 528 M, Administrateur civil département de Gombousougou (Boulgou) ;
Monsieur Sibiri Antoine GUISSOU, Mle 91 957 K, Secrétaire administratif, département de Yondé (Koulpélogo) ;
Madame Léocadi P. NACOULMA, Mle 74 307 X, Secrétaire administrateur, département de Yargo (Kouritenga).
Région du Centre-Nord
Monsieur Bassidiki OUATTARA, Mle 220 626 N, Administrateur civil, département de Kongoussi (Bam) ;
Monsieur Aimé Pascal YAMEOGO, Mle 23 672 K, Secrétaire administratif, département de Nasseré (Bam) ;
Monsieur Bia TOPAN, Mle 75 963 G, secrétaire administratif, département de Sabcé (Bam) ;
Madame Rabiata SAWADOGO, Mle 279 340 J, Administrateur civil, département de Kaya (Sanmatenga) ;
Monsieur Boudnoma Alain YAMEOGO, Mle 220 607 P, Secrétaire administratif, département de Pensa (Sanmatenga) ;
Monsieur S. Gérard FARMA, Mle 236 068 A, Secrétaire administratif, département Ziga (Sanmatenga).
Région du Centre-Ouest
Monsieur Sombéniwendé NIKIEMA, Mle 212 091 H, Administrateur civil, département de Koudougou (Boulkiemdé) ;
Monsieur Gorko Ibrahim SAWADOGO, Mle 30 778 V, Administrateur civil, département de Sabou (Boulkiemdé) ;
Madame Kiswensida Marguérite BADINI, Mle 117 038 W, Secrétaire administratif, département de Soaw (Boulkiemdé) ;
Monsieur Jean SARE, Mle 212 114 C, Secrétaire administratif, département de Zawara (Sanguié) ;
Madame J. S. Diane DJIMOUDI/BOUGSERE, Mle 79 415 C, Secrétaire administratif, département de Dalo (Ziro) ;
Monsieur Tingandé ZOUNDI, Mle 229 888 Y, Administrateur civil, département de Sapouy (Ziro).
Région Centre-Sud
Madame Cathérine OUATTARA, Mle 74 469 L, Secrétaire administratif, département de Doulougou (Bazega) ;
Madame Haoua OUEDRAOGO, Mle 78 142 Z, Administrateur civil, département de Saponé (Bazega) ;
Madame Aissa RAMDE/ZOUGMORE, Mle 74 532 C, Secrétaire administratif, département de Toécé (Bazega) ;
Monsieur Abde Liakky Manacounou SIENOU, Mle 98 037 Y, Secrétaire administratif, département de Gogo (Zoundwéogo) ;
Région des Hauts-Bassins
Monsieur Sibiri Herman BAMOGO, Mle 203 228 J, Secrétaire administratif, département de Banzon (Houet) ;
Monsieur Domonbagnéré Kisito DABIRE, Mle 279 912 T, Administrateur civil, département de Dandé (Houet) ;
Monsieur Issa ZEBA, Mle 212 147 C, Secrétaire administratif, département de Karangasso Vigué (Houet) ;
Madame Anne Louiselle TOURE/YANKINE, Mle 78 895 A, Secrétaire administratif, département de Kourinion (Kénédougou) ;
Monsieur Salifou SANKARA, Mle 220 639 M, Secrétaire administratif, département de Sindo (Kénédougou) ;
Région de l’Est
Monsieur Sylvain ROUAMBA, Mle 74 689 A, Secrétaire administratif, département de Coalla (Gnagna) ;
Monsieur Adama SAWADOGO, Mle 280 360 E, Secrétaire administratif, département de Liptougou (Gnagna) ;
Monsieur Bassien Roccar BASSANE, Mle 105 258 Y, Secrétaire administratif, département de Manni (Gnagna) ;
Monsieur S. Aristide YAMEOGO, Mle 98 040 E, Secrétaire administratif, département de Matiacoali (Gourma) ;
Monsieur Dayéri KOMONDI, Mle 28 513 U, Secrétaire administratif, département de Kompienga (Kompienga) ;
Monsieur Siméon Laoudjolo TOE, Mle 105 207 E, Administrateur civil, département de Diapaga (Tapoa) ;
Monsieur Bangba OUEDRAOGO, Mle 23 701 L, Secrétaire administratif, département de Kantchari (Tapoa) ;
Monsieur Madiari LANKOANDE, Mle 46 665 K, Secrétaire administratif, département de Logobou (Tapoa) ;
Monsieur Mamandou OUATTARA, Mle 200 334 A, Secrétaire administratif, département de Partiaga (Tapoa) ;
Monsieur Moïse SAWADOGO, Mle 280 494 M, Secrétaire administratif, département de Tambaga (Tapoa).
Région du Nord
Monsieur Hassami NIKIEMA, Mle 98 032 T, Secrétaire administratif, département de Pobé-Mengao (Loroum) ;
Monsieur Lassané NIKIEMA, Mle 260 646 S, Secrétaire administratif, département de Barga (Yatenga) ;
Monsieur Kouka OUEDRAOGO, Mle 28 315 L, Secrétaire administratif, département de Kalsaka (Yatenga) ;
Monsieur Hamado ZONGO, Mle 23 561 J, Secrétaire administratif, département de Kossouka (Yatenga) ;
Monsieur Diakambi LOMPO, Mle 247 338 F, Secrétaire administratif, département de Koumbri (Yatenga) ;
Région du Plateau-Central
Monsieur Louis ZONGO, Mle 105 305 E, Secrétaire administratif, département de Méguet (Ganzourgou) ;
Monsieur Tinfissi Désiré ILBOUDO, Mle 73 826 R, Secrétaire administratif, département de Zam (Ganzourgou) ;
Madame Aimée Michelle KABORE/OUEDRAOGO, Mle 23 680 G, Secrétaire administratif, département de Niou (Kourwéogo) ;
Monsieur Dieudonné DIASSO, Mle 95 814 L, Secrétaire administratif, département de Toéghin (Kourwéogo) ;
Madame Christine ZIDA/SAWADOGO, Mle 76 174 L, Secrétaire administratif, département de Dapélogo (Oubritenga).
Région du Sahel
Monsieur Gabriel BAZONGO, Mle 57 838 F, Agent public, département de Déou (Oudalan) ;
Monsieur Hamadou OUEDRAOGO, Mle 23 690 T, Secrétaire administratif, département de Bani (Seno) ;
Monsieur Mahamadi OUARE, Mle 105 197 U, Administrateur civil, département de Djibo (Soum) ;
Monsieur Tinkièga Félix ZOEHINGA, Mle 109 531 H, Agent public, département de Nassoumbou (Soum).
Région du Sud-Ouest
Monsieur Sagnaba Abdramane TOU, Mle 238 010 F, Administrateur civil, département de Dissin (Ioba) ;
Monsieur Daniel Ben Sékou OUEDRAOGO, Mle 91 919 G, Secrétaire administratif, département de Djigouè (Poni).
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE, DES FINANCES ET DU DEVELOPPEMENT
Les personnes dont les noms suivent sont nommées membres de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF) pour une dernière période de trois (03) ans :
Monsieur Cyprien DABIRE, Mle 130 134 N, Magistrat, membre représentant l’Etat au titre du ministère de la Justice, des droits humains et de la promotion civique ;
Monsieur Adama Nouhoun OUATTARA, Mle 41 84, Cadre de banque, membre représentant la Direction nationale de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) pour le compte du Burkina Faso.
AU TITRE DU MINISTERE DE LA CULTURE, DES ARTS ET DU TOURISME
Monsieur Jean-Paul KOUDOUGOU, Mle 47 619 D, Conservateur de musée, 1ère classe, 13èmeéchelon, est nommé Secrétaire général.
III.2. NOMINATION DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION
Le Conseil a procédé à des nominations et à des renouvellements de mandat d’administrateurs aux Conseils d’administration :
de la Société minière OREZONE BOMBORE SA, de la Société minière RIVERSTONE KARMA SA, de la société minière BISSA GOLD SA, de la société minière SOCIETE DES MINES DE SANBRADO (SOMISA) SA, de la société minière SEMAFO BOUNGOU SA, au titre du ministère des Mines et des carrières.
de la Chambre des métiers de l’artisanat du Burkina Faso (CMA-BF), de l’Agence de promotion des investissements du Burkina Faso (API-BF) au titre du ministère du Commerce, de l’industrie et de l’artisanat.
La liste des nominations sera publiée dans le Journal Officiel du Faso.
Le Ministre de la Communication et
des Relations avec le Parlement,
Porte-parole du gouvernement,
Rémis Fulgance DANDJINOU
Officier de l’ordre national

La nouvelle année africaine célébrée le 10 Septembre parle Fcenter

Le Fcenter a célébré à Ouagadougou dans son centre la fin du calendrier de l’homme noire le dimanche 10 Septembre 2017.

Le 11 Septembre marque une nouvelle année pour le calendrier africain et pour célébrer cela le F-center a organisé une série de manifestation afin de commémorer la nouvelle année.

Conférences, expositions de divers objets, méditation, échanges ont ponctués la commémoration de la fin de l’année africain.

« Cette cérémonie c’est juste pour montrer au monde entier que nous sommes un peuple libre mentalement, spirituellement et physiquement. C’est pour également montrer au monde entier que le renouvellement de l’année se fait aujourd’hui et non en décembre. Le calendrier grégorien nous a trop présenté de confusion, par contre le calendrier de nos ancêtres nous ramène à nos réalités en tant qu’africain »a confié Bahamoon , le responsable du F center.

Force est de constater que malheureusement ce calendrier est méconnu par les africains eux-mêmes, chose que Bahamoon justifie par le fait de notre éducation. Raison pour laquelle il invite les africains à revenir aux sources.

Plusieurs invités ont pris part à cette commémoration .Occasion pour eux d’apprendre d’avantages du centre et surtout de mieux connaitre le Centre.