LE PAPE : « L’avortement n’est pas un moindre mal, c’est un crime » selon le pape.

Parmi les sujets qui divisent le monde des chrétiens, le Pape  François s’est toujours distingué par son opposition farouche à l’avortement. Cet argentin, né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires, a encore condamné cette pratique dans une récente sortie. Ce fut encore le cas lors de sa récente sortie sur une rencontre avec des associations familiales sue la question des avortements au Vatican, le 16 juin dernier

 

Dans une rencontre avec des associations familiales sue la question des avortements au Vatican, le 16 juin dernier, le Pape n’a pas manqué de faire un lien entre l’avortement et le Nazisme.

Lors de cette rencontre, le Pape n’a pas manqué de faire un rapprochement entre  l’IVG  qui est un « eugénisme en gants blancs », dont une méthode visant à apporter une amélioration qualitative au patrimoine génétique humaine, aux méthodes eugénistes  de l’Allemagne Nazis pendant le 2nd guerre mondiale, qui étaient des méthodes servant à éradiquer le patrimoine de la race humaine

« Au siècle dernier, tout le monde était scandalisé par ce que faisaient les nazis pour veiller à la pureté de la race. Aujourd’hui, nous faisons la même chose en gants blancs »,a laissé entendre le Pape François.

Le Pape n’a na omis le cas de certains avortements qui se justifie par une malformation de l’enfant lors des premiers mois de la grossesse :

« J’ai entendu dire qu’il est à la mode, ou au moins habituel, de faire au cours des premiers mois de la grossesse des examens pour voir si l’enfant ne va pas bien ou s’il naîtra avec quelque chose, le premier choix étant de s’en débarrasser », a-t-il ajouté

Il a interrogé les uns et les autres sur la cause de la disparition de nains en ces termes :

« Pourquoi ne voit-on plus de nains dans les rues? Parce que le protocole de nombreux médecins dit: ‘il va naître avec une anomalie’, on s’en débarrasse ».

Pour conclure, l’argentin a  décrit le modèle de famille que nous avons aujourd’hui dans nos sociétés qui ne sont en réalité pas celles que nous devrions avoir :

« Souvent, on pense à fonder une famille, à se marier, comme s’il s’agissait d’une loterie. Si ça va, ça va, et si ça ne va pas, on efface tout et on recommence ». a-t-il conclus.

 

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