Robert O’Neill connu sous le surnom de Mark Owen, a effectuer une nouvelle sortie à l’occasion du 17e anniversaire des attaques terroristes sur une chaine de Télé Britannique (ITV), sans retenir son profond regret d’avoir assassiné celui-là qui était considéré comme l’ennemis N°1 des Etats Unis d’Amérique.
Un assaut de grande envergure a été lancé le 02 mai 2011 contre Oussama ben Laden à Abbottabad dans le nord du Pakistan. Cette opération était composée uniquement des Navy Seals, des militaires américains d’élite. Parmi ces militaires, il y avait Mark Owen, cet homme âgé de 35 ans à l’époque des faits, et considéré comme celui-là même qui a abattu Oussama ben Laden.
En rappelle, Robert O’Neill a été décoré à 52 reprises dont deux Silver Stars et trois Bronzes Stars.. Il compte parmi les vétérans américains les plus décorés du pays. C’est finalement en 2014 dans le documentaire The Man Who Killed Usama Bin Laden de Fox News Channel, que le militaire sortira de l’anonymat.
Sur la télévision ITV, il va déclarer :
« Étant père et en pensant que ce pauvre gamin (enfant de Ben Laden alors âgé de 2 ans) n’a rien à voir avec ça, je me suis rendu compte que ce n’était pas fini et je souhaite que personne ne voie ce genre de choses. »
« C’était une sorte de prise de conscience que nous n’allons pas gagner cette guerre avec des balles et des bombes, mais grâce à l’éducation, il existe une idéologie qui veut nous rendre moins en sécurité. »
« Est « Je préférerais savoir qu’il existe une menace plutôt que de prétendre qu’il n’y en a pas. Donc, je ne vais pas vivre ma vie avec la tête dans le sable. »
« Mes enfants et moi continuerons à faire ce que nous faisons. Toutes les mesures de sécurité sont en place, nous avons des chiens, nous avons des armes à feu, nous avons des dispositifs de sécurité. »
« Est-ce la pire chose que j’ai jamais faite ou la meilleure chose que j’ai jamais faite? Je ne suis pas encore sûr de la réponse. »
L’assassin de Oussama ben Laden affirme qu’il est conscient des menaces ou du danger qui pèsent sur lui, mais la peur est quasi inexistant en lui surtout quand il se souvient des attentats du 11 septembre 2001.