La question éducative est à la une au Libéria. Le coût, aussi chère, a retenu l’attention du footballeur interplanétaire George Weah, aujourd’hui président du Libéria.
« Les étudiants m’ont dit que les frais d’inscription avaient augmenté. La direction m’a affirmé que ce n’était pas le cas, mais qu’à cause de la chute du dollar libérien, les montants payés en monnaie locale ont augmenté », a laissé entendre le président George Weah.
Combien sont les chefs d’Etat africains qui peuvent prendre courageusement une telle décision ?
A la conquête de réponses pour une telle équation, nous nous somme senti obligé de dire « président George Weah, merci ».
En effet, le président George Weah, a affirmé que l’éducation occupe une place primordiale dans le développement d’un peuple.
En outre, ils sont environ 20.000 étudiants qui sont allé voir le chef d’Etat pour exprimer leur doléance. Sur les 20.000, seulement 12000 ont réussi à s’inscrire et suivent les cours, 5000 suivent les coures grâce à des bourses, et les 8000 n’y arrive pas par ce qu’ils ne sont pas parvenu à solder leur scolarité.
C’est alors que le président George Weah,a affirmé : « Au nom du peuple libérien et de mon gouvernement, je déclare libre de droits d’inscription l’Université du Liberia pour les étudiants du premier cycle, ainsi que pour ceux de toutes les autres universités publiques au Liberia » a déclaré l’ancien attaquant du PSG et du Milan AC lors d’une cérémonie sur le principal campus de l’Université du Liberia à Monrovia.
Cette décision de l’ancien 11 national libérien, vient consolider son soucis de voir disparaitre l’« impact négatif » au sein des jeunes afin de compter « sur leur capacité à jouer un rôle positif dans le développement du pays ».
George Weah est arrivé au pouvoir depuis fin 2017 avec pour priorité phare, combattre la pauvreté et à relancer l’économie du pays. Il compte sur la population pour y arriver.