C’est encore un dans le monde de la politique africaine, après la surprise de Pierre Nkurunziza. Pendant que toute la République Démocratique du Congo, était penchée sur le 3e mandat de l’actuel président JOSEPH Kabila, son premier ministre annonce au monde de médiat dans une interview en marge de la conférence du Forum Economique International des Amériques (FEIA) au Canada en ces termes : « Les élections auront lieu sans la participation du président Kabila qui respectera l’esprit et la lettre de la Constitution ».
Ces derniers jours la pression est forte sur Joseph Kabila, après la mort du militant infatigable de la LUCHA, mais aussi la libération de Jean Pierre Bemba, et c’est tout cela qui qui brouille les cartes du dirigeant majoritairement contesté. Ainsi coincé c’est évident que Joseph Kabila au pouvoir depuis 2001 suite à l’assassinat de son père, n’aura plus le choix car l’opposition Congolaise est désormais plus que forte.
Après l’envoie de son premier ministre pour annoncer son abstention aux élections de décembre prochain, le comité laïc de coordination (CLC) n’as pas voulu croire aux paroles du premier minitre comme des paroles évangéliques. C’est ainsi qu’il ont décidé ce jeudi 14 juin de lancé un ultimatum à Kabila pour exiger sont dépar avant le 30 juin 2018: « Au-delà du 30 juin, le peuple congolais , toujours vigilant et mobilisé, sera dans l’obligation de se prendre durablement et courageusement en charge sur toute l’étendue du territoire », cette abdication n’a pas été faite par Kabila même en personne, donc il faut rester aux aguets pour ne pas se voir duper.