Gaoua: un homme tue 2 femmes avec un couteau

Un homme a poignardé mercredi matin les occupants d’un véhicule de transport, tuant deux femmes et blessant quatre autres personnes.

le drame s’est produit vers 8h dans une des artères jouxtant le grand marché de Gaoua ou stationnent les véhicules de transport.

C’est à l’intérieur de l’un des mini cars de transport que l’un des passagers alertent le voisinage à l’aide cris .

Un témoin de l’événement, un gérant de boutique, Yacouba Ouédraogo confie qu’au regard des cris d’appel à l’aide il accouru sur les lieux pour apporter son secours.

« Arrivé, j’ai vu un homme, couteau en main poignardant les autres occupants. C’était sauve qui peut dans le véhicule » a-t-il indiqué.

Il ajoute que quand il a voulu l’arrêté, il a pris la fuite.

Immédiatement après l’attaque, on a constaté que deux femmes ont perdu la vie et quatre autres personnes sont blessées.

L’auteur de l’attaque a été pourchassé par une foule nombreuse qui cherchait en découdre.

Il est allé se refugié dans les locaux du Tribunal de grande instance de Gaoua. D’où il a tenté d’agresser un élément des forces de sécurité qui s’est défendu et tirant dans la partie inférieure de son corps.

Nigéria-France: Un réseau de prostitution de nigérianes démantelé en France, un pasteur aux arrêts

La police française a démantelé cette semaine un important réseau forçant de jeunes Nigérianes à se prostituer à Lyon.

Gros coup de filet de la police française. 16 personnes , toutes de nationalités nigérianes ont été interpellées pour proxénétisme à Lyon et dans le sud de la France .

Elles sont soupçonnées d’avoir monté un réseau de prostitution . Le fruit de 15 mois d’investigation de la part de la police française .

Parmi les suspects , figurent des mamas , et un pasteur qui serait la tête du réseau.

D’après l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRTEH), une cinquantaine de jeunes filles étaient forcées de se prostituer dans des camionnettes

Le réseau aurait récolté, jusqu’ à100.000 et 150.000 euros par mois, “très rapidement” transféré vers le Nigeria, seulement 22.000 euros ont pu être saisis par les enquêteurs.

Dans l’espoir d’un bel avenir ,plusieurs jeunes filles sont transportées par des trafiquants nigérians jusqu’aux côtes libyennes lors d’un voyage de plusieurs semaines, voire de plusieurs mois, au cours duquel elles “subiraient des viols réguliers”.

Arrivées en Europe, elles sont “presque immédiatement” forcées à se prostituer, pour rembourser une dette supposée de 30000 euros”, faute de quoi leurs proches restés au pays feraient l’objet de menaces, extorsions, coups, enlèvement, voire assassinats.